Angie W.Rhys Angie ;; Aaaangie when will those clouds all disapear... Fifille à son papa. ©
Sujet: Angie W. Rhys [Done] Lun 27 Sep - 8:46 ANGIE W. RHYS
Ft ? Kristen Stewart.© juice
Nom ;; Rhys Prénoms ;; Angelina Weather, mais appelez moi Angie Date de naissance & Age [ physique & reel ] ;; Je suis née le 21 septembre 1940, j'ai donc 58 ans, mais immortalisée dans mes 17 Maison souhaitée ;; Serpy??? Famille [ Généalogie abregée ] ;; Née de parents moldus, je ne pense pas qu'ils vous évoquent un réel interêt, d'autant plus que ce cher Jedusor les a assassiné Orientation [Neutre ? Bien ? Mal ? ] ;; Neutre, je ne défends que ma cause Matiere preferée ;; Défense contre les forces du mal Matiere detestée ;; Soins aux créatures Magiques (il faut sortir ) Vos facilités / Difficultées ;; Douée en tout Cinq qualités / Cinq Defauts ;; Obstinée, Ouverte, Intangible, Fidèle, Réfléchie, Joueuse, Jalouse, Possessive, Violente et Sanglante Patronus ;; Léopard (si possible)
Pour en savoir plus...
Votre Histoire ;; [minimum 20 Lignes s'il vous plait.] La La La
Spoiler: « Je suis née il y a maintenant cinquante huit ans. Cinquante huit longues années dont les dix sept premières ne furent aucunement intéressantes. En effet, elles ne vous apprendront rien sur ce que je suis. Issue d'une famille de moldus, j'étais une sang de bourbe dans un monde magique que j'apprenais à côtoyer. Je vivais telle une fille de mon époque. Avec ses bonnes manières, avec ses préjugés et ses sentiments. J'eus à connaître beaucoup de choses en rapport avec l'histoire, du moins celle des moldus avant toute chose. Lorsque vous naissez en 1940, il ne vous est pas permis, pour une fille, de pouvoir avoir vos opinions ou vos avis. Chose que je regretterai plus tard... Je fus trop jeune pour pouvoir me souvenir de la peur dans les rues, des hostilités mondiales, et de cette panique générale qui envahit le monde à cette époque. Et de par mon statut actuel, il n'en reste hélas rien. A bien y réfléchir, il ne me reste pas énormément de souvenirs liés à mon état d'humanité. Si ce n'est peut être, cette lettre à l'écriture émeraude que je reçus le jour de mes onze ans. Une lettre qui n'avait pas eu comme moyen de locomotion ce que nous appelions communément un postier, mais un hibou. Mes parents et moi même avions appris que, pendant la Seconde Guerre Mondiale, certains communiquaient par l'intermédiaire de pigeons voyageurs, mais pas par ces êtres aussi nobles et somptueux que sont les hiboux. C'est pourquoi, notre surprise fut telle que nous n'osâmes ouvrir cette enveloppe, craignant ainsi un mauvais présage. Ce fut l'avis de mon père, chose à laquelle ma mère et moi même dûmes nous plier. Mais même mon défunt père ignorait tout de l'être qu'il avait mis au monde. C'est ainsi que durant la nuit, je me levais, m'empressais de soulever la chaise, dans la plus grande discrétion, et parvins à attraper ce qui était prohibé. Braver l'interdit était une chose que j'avais toujours cherché à faire, juste pour pouvoir ressentir cette pression que nous avions lorsque nous commettions une bêtise. J'ai du mal à me souvenir de cette sensation, elle me paraît si lointaine maintenant... Mais je ne dois pas me détourner de mon chemin. Bien au contraire, possédant cette enveloppe, je me dépêchais de la cacher entre ma chemise de nuit et ma peau, à l'aide de mes bras, et m'empressais de retourner dans ma chambre, non sans avoir veillée à tout remettre en place au préalable. J'avais appris cette chose, durant ma jeunesse, et j'en gardais les moindres attraits: il ne fallait jamais laisser de traces. Bref, c'est ainsi que je pus apprendre que moi, Angelina Weather Rhys, j'étais une sorcière en devenir qui avait été acceptée à Poudlard. Qu'est ce dont que ça? Une sorcière? Comme celles décrites dans les ouvrages des Frères Grimm? Un nez crochu allait pousser sur mon visage? Bien entendu, comment vouliez vous que je perçoive la chose, à onze ans, dans une famille de moldus, et en 1951? Je n'avais aucun modèle, ni aucune représentation de tout cela. Mes parents finirent toutefois par accepter la chose, ils n’eurent d'autres choix que de le faire de toute manière. Et ce fut dans cet état d'esprit que je découvris les yeux aussi ronds qu’une montgolfière ce à quoi je croyais n'avoir jamais à voir. De par mon intelligence, le choixpeau, communément appelé, m'envoya chez les Serdaigles. Ce dernier trouva quelque chose de rusé, et de bon en moi. Après tout, même un choixpeau peut se tromper. Mes sept années se déroulèrent ainsi de façon la plus normale qu'il soit. Et si mes souvenirs sont bons, il me semble même m'être ennuyée à cette époque. Mais bon, je me suis ennuyée durant toute la période de ma vie humaine. C'était un temps sans aucun jeu, sans aucune prise de risque, sans même une once de danger, de quoi mourir d'ennui pour quelqu'un comme moi. Même mes soi-disant amis de classe me trouvaient différente, j'étais ce qu'ils qualifiaient de « trop » : trop entêtée, trop curieuse, trop volontaire, trop imprudente... Si bien qu'ils finirent par voir que cette jeune fille « si tout » avait raison. Le mal luttait contre le bien, et ces deux factions visaient à se battre l'une contre l'autre afin d'étendre leur pouvoir. Et le mal commençait déjà à s'extirper de ses bas fonds pour mener la danse. Bien sûr, il a fallut attendre l'émergence d’un certain Tom Jedusor, alias Voldemort, pour que celui ci termine sa course. Mais déjà à l'époque, tous étions capables d'en ressentir les prémices. Si bien, que je me souviens avoir reçu des avertissements à cause de ma curiosité, seulement, je ne pouvais m'arrêter là. Je devais en savoir plus, pour savoir ce que je serai amenée à choisir plus tard. Je le devais, pour définir ma vie... Comme c'est ironique de croire que la vie à venir est tout lorsque l'on est un humain, alors que celle que l'on a détermine ce qu'il en sera. J'étais dupe, innocente et naïve, n'est ce pas? Oui je le sais, et cela m'a joué des tours. Je me souviens avoir été victime de ce que l'on appelle une agression. J'étais à Pré-au-lard, comme la plupart des élèves de ma promotion. Nous avions reçus une autorisation spéciale, afin de pouvoir profiter de cette journée. J'avais voulu me rendre au cimetière du village, parce que mes recherches m'y avaient conduite. Une certaine tombe permettait d'établir un lien entre une personne particulière et ce mal grandissant. Je me heurtais à quelque chose de mal, afin de pouvoir juger de moi même de ce qu'il en était. Je m'étais aperçue que j'étais suivie par deux hommes, cependant, je ne fus détournée de mon chemin. Ma baguette faisant objet de protection, je serrais mes doigts sur le morceau de bois, prête à lancer un stupéfix à la moindre occasion. Quelle ne fut ma surprise, en prenant conscience que deux autres hommes semblaient m'attendre. Des légilimens... Voilà la première pensée que j’eue lorsque les deux hommes derrière moi se rapprochèrent pour faire office de mur. Ils communiquaient par la pensée, et faisaient partie de ce mal naissant. Bien entendu, ils avaient perçu mes pensées, et avaient donc anticipé les moindres de mes gestes. Aussi vite que je sortis la baguette de la poche de ma robe, cette dernière vola dans les airs, sans même qu'une seule parole ne fusse prononcée. J'étais prise au piège, encadrée par quatre sorciers adultes qui allaient me faire regretter ma curiosité. Il n'y avait nul besoin d'avoir des dons extra lucides pour se rendre compte de ce constat. Ayant vécu chez les moldus, j'usais alors de ma force physique, pour tenter de m'échapper, il en fut de même pour mes cris, qui résonnèrent contre les parois rocheuses. Je vous fais grâce des détails concernant ce que je subis, vos pauvres âmes en seraient terriblement offusquées. Mais ce qu'il restait de moi au final, ne fut qu'un corps à moitié nu, à mi chemin vers la mort. Je sentais que j'allais mourir aux moindres bouffées d'oxygène qu'il me restait. Ma vision était aussi trouble que la fumée s'éparpillant de part et d'autre d'un chaudron de potions. Ce goût de rouille dans ma bouche commençait déjà à m'échapper, tout comme la froideur de cet endroit. Je gisais, attendant patiemment ma fin proche, trop faible pour continuer de lutter. Je me laissais partir, et fermais mes yeux, sans même savoir que je venais de le faire. Je crus entendre une agitation, mais pensais qu'il s'agissait là de l'entrée de ce que j'allais connaître maintenant. Je me trompais... Car perdue dans le froid, je réussis à sentir une chaleur vive, me brulant la bouche, dans un premier temps, jusqu'à ce qu'elle n'embrase ma trachée et mon estomac. Ce mal me donnait envie de vomir, mais j'en avais besoin, car cela me permettait de me rassurer avec une sensation que je connaissais déjà. Je me demandais si j'étais morte, et s’il s'agissait là de ma naissance dans l'au delà. Cependant, je fus une nouvelle fois confrontée à ce mal, lorsque je sentis une vive douleur dans ma poitrine. Suffoquant, j'entendais encore mon cœur battre dans un rythme qui décélérait au fur et à mesure des secondes. Je n'étais pas encore morte, mais j'allais mourir. J'étais entourée par les ténèbres, et la solitude, je n'existais plus pendant un temps. Car mes yeux finirent par s'ouvrir et me donnèrent une nouvelle perception du monde... A mes côtés, une créature très belle, et paraissant inquiète me regardait. Elle n'osa parler, préférant me laisser le temps de me faire à cette idée... Il n'y avait pas besoin d'en évoquer un seul, car je compris en portant ma main sur ma poitrine ce que j'étais. Je n'étais plus humaine à présent, je venais de subir ma transformation de vampire... C'est ce que la créature ne cessait de me répéter, alors que je prenais petit à petit conscience. Mes jambes semblaient répondre à ce que mon cerveau ordonnait, et il en était de même pour mes bras et le reste de mon corps. Il n'y avait que mon cœur qui ne réagissait plus, j'étais morte, mais encore en vie. Et je me sentais mal. Cette brûlure que j'avais ressentis le long de ma trachée recommençait à se faire ressentir, j'avais soif. Tellement soif, j'aurai donné n'importe quoi pour boire. Eden, comme il me disait qu'il s'appelait, m'expliquait que je devais faire doucement. Mais je ne le pouvais pas, et je n'en n'avais pas envie. J'avais l'impression que j'allais mourir déshydrater, et il fallait que je boive. Cela en devenait une obsession de laquelle je ne pouvais me détourner. Une obsession qui se transforma en but, pour terminer en besoin vital qu'il fallait absolument que j'assouvisse. En parallèle, j'eus l'impression qu'une odeur bien alléchante venait chatouiller mes narines. C'était une odeur qui m'était alors inconnue, mais qui finirait bien vite par devenir aussi familier que ce que vous les humains vous connaissez sous l'adjectif d'enivrant. Même si, j'étais bien assez faible pour tenir debout, j'étais toutefois parvenue à ramper jusqu'à cette odeur. Ce dont je ne m'attendais pas, c'était qu'elle émanait d'un corps inerte, un des hommes qui m'avait fais du mal et m'avait tué. J'entendais le flux de ce liquide rouge se déverser, et il m'appelait. La soif que j'avais, n'était autre que celle du sang. Prise sous le coup de l'envie, je me ruais sur le corps déjà mort, et goutais son sang. Je me souviens encore de son goût, il m'avait parut si sucré malgré sa tiédeur. Peut être simplement parce que c'était la première fois que j'y goutais... Je ne pouvais plus m'arrêter, plus je buvais, plus j'avais l'impression que ma soif était loin d'être apaisée. Mon corps à demi découvert était ensanglanté de ce sang que j'appréciais. Bientôt il n'en n'aurait plus, et je devrai étancher ma soif ailleurs. Mon odorat fut attiré vers un autre corps, et encore un autre, jusqu'à ce qu’Eden me dise que cela suffisait. Tel un animal féroce, je me débattais pour échapper à son étreinte en jurant ne pas en avoir assez, en demandant à genoux, alternant diverses formes humaines pour arriver à mes fins. Mais je n'y arrivais pas... Les minutes devinrent des heures, les heures devinrent des jours, les jours se transformèrent en années, et le temps n'avait fait aucune entaille sur mon physique. J'apprenais à devenir une immortelle. Eden restait avec moi, afin de m'enseigner les règles rudimentaires de la survie. Je me devais de me contrôler, afin de me fondre dans la société. Je devais également apprendre à user de mon don, à savoir le charisme et la séduction. Chose qui ne me fut pas un problème en soit. Les gens disaient toujours que j'étais jolie à regarder, et que je ne pouvais pas laisser n'importe qui indifférent. C'est pourquoi ce statut me donnait une nouvelle chose, que je n'avais pas avant. Et cette chose m'avait fait passer de ce qualificatif de « jolie » à « belle ». Je choisissais ainsi mes victimes en fonction de leur sang. Ils pouvaient être sorciers ou moldus, mages respectés ou simples novices, enfants ou vieillards, hommes ou femmes, seul l'odorat de leur sang comptait pour moi. Très vite, je trouvais un réel intérêt pour le sang des plus jeunes, il était beaucoup plus fluide et avait une touche que les autres n'avaient pas. Eden classait cela dans le fait que les plus jeunes étaient dotés de cette innocence qui les caractérisait tant des autres. Peut être... A vrai dire, je m'en fichais, et je m'en fiche toujours. Ce qui compte, c'est que ma soif disparaisse, et autant le faire dans le meilleur des cas. Ma force s'était accrue, et je percevais à présent des choses, des sentiments qui s'étaient amplifiés. La colère en était l'exemple le plus flagrant, car je ne pouvais la maîtriser. Lorsque quelque chose me contrariait, je ne pouvais y passer au dessus, comme lorsque j'étais encore une humaine. Je ressentais le besoin d'être violente, et je me nourrissais du malheur des autres. Je le fais encore aujourd'hui, et ne m'en cache pas, à quoi bon? Je suis un être aussi beau, et aussi puissant que ce qu'il a été donné de concevoir, autant m'en servir à ma guise, et non pas s'abaisser à servir une quelconque entité. Mais ne nous égarons pas, je n'en n'ai pas fini de vous raconter ce que je suis. Eden finit par m'abandonner, prétextant vouloir voyager à travers l'Europe, et jugeant que je n'avais plus besoin de sa protection. Un lien me connectait à lui ou elle, je n'ai jamais su ce que c'était vraiment. Mais je ressentais s’il était en vie et s’il était en danger. Sûrement un de ces liens qui s'opèrent lors de la naissance d'un vampire... J’errais alors dans les diverses villes d'Angleterre. Évitant soigneusement, de retourner vers ce qui était avant mon chez moi. Je n'en n'avais plus aucun à présent, et mes parents me croyaient morte. Bien sûr, j'aurai pu les retrouver, et les transformer eux aussi, mais je n'étais pas une de ses sentimentales. J'avais été choisie, pas eux... J'appris assez vite que nous n'étions appréciés par quiconque. Et surtout, qu'il ne fallait pas se fier aux autres vampires. Seul Eden était digne de confiance. Il me fallut remarquer par moi même à quel point la traîtrise de certains était développée pour ne choisir aucun camp. Ce Lord Voldemort cherchait à mettre n'importe qui de son côté, et ce aux dépends de tous codes et de toutes règles. Je me souviens avoir été demandée par l'un de ses mangemorts, ma réponse fut de lui rapporter son corps inerte, en précisant que je ne servirai jamais personne. Sa vengeance ne tarda pas, puisqu’une semaine plus tard, j'apprenais que mes parents avaient été victimes d'un sortilège impardonnable. Cette épreuve fut la plus terrible pour moi, car les sentiments développés n'aidaient en rien quand au chagrin qui s'était emparé de moi. J'avais beau essayer de m'en sortir, rien ne me ramenait sur le droit chemin, si ce n'était peut être cette haine que j'avais envers ce Jedusor. Oh oui, je l'appelle ainsi, malgré son aversion pour son nom MOLDU! Je ne le crains pas, le devrais je? Mais je suis tout de même assez intelligente pour me ramener sur le droit chemin et élaborer une vengeance beaucoup plus subtile. C'est ce qui nous différencie des autres êtres surnaturels, nous vampires, nous acceptons parfois la défaite, mais uniquement dans le but de mieux nous venger. Et ce Potter allait m'aider dans cette voie... Mais avant d'en venir à lui, il n'en reste pas moins un pan de ma vie, qu'il me faut vous expliquer... Ce Voldemort finit par tomber, lui qui était au sommet de son apothéose, et je n'eue d'autre réaction qu'afficher un rictus ignoble en l'imaginant ramper comme un vulgaire ver de terre. Je décidais alors de sortir de mon désespoir, et m'en alla au Chaudron Baveur, afin de pouvoir en apprendre davantage sur ce Potter qui avait survécu. Cependant, je dus laisser mon objectif, chose qui ne m'était jamais arrivée jusqu'alors, car une explosion fit voler en éclat certaines boutiques qui se trouvaient sur mon chemin. Mes facultés vampiriques me permirent de m'en écarter, et déjà l'appel du sang commençait à faire prendre leur couleur jaunâtre à mes yeux. Je m'apprêtais à me nourrir d'un adolescent, lorsque je perçus son visage à travers la fumée. Étrangement, sa posture et son aspect général me rappelait ce que j'avais moi même vécu. D'autant plus que sa beauté était semblable à celle que peuvent avoir les vampires. Je ne saurai expliquer ce qu'il se passait entre nous, mais quelque chose naquit à cet instant là, et je voulais le faire mien, sans lui enlever son humanité. Laissant mes instincts prendre les devants, je ne pouvais le laisser mourir, et alors qu'il sombrait sous mes yeux, je me décidais à brandir ma baguette pour tenter de le soigner. Cependant je m'aperçus bien assez tôt que cela ne suffirait pas. Je lançais des regards sur le côté afin de me rendre compte que personne ne me surveillait, et porta un coup assez violent au niveau de sa cage thoracique. Je me souviens bien avoir jaugé ma force en frappant d'abord le sol de manière à éviter de transpercer ses os. Je me taillais également le poignet, et lui en laissa boire quelques gouttes, de manière à ce qu'il n'achève pas sa transformation. De toute manière, il était vivant maintenant, et son système aurait éliminé mon sang d'ici quelques jours. Je le pris avec moi, et l'emmena dans une chambre d'hôtel que je prenais à ma charge. Je me rappelle très bien avoir prié Eden de revenir pour me venir en aide et m'expliquer ce que j'étais en train de vivre. Mais il n'arriva pas, et je dus faire face à cela seule. Je soignais alors ce jeune adolescent, et ne pus m'empêcher de venir goûter à son sang duquel je ne pouvais plus me passer. Mais mon envie de le garder en vie pour pouvoir continuer à le faire était trop grande, ce qui m'empêchait de le tuer. Plutôt égoïste hein? Demandez plutôt à ceux qui m'ont agressé s’ils ne l'étaient pas eux aussi? Je n'avais aucun compte à rendre à personne, mais lui m'en devrait à présent. Et pourtant, je le veillais, et restais recluse avec lui, attendant patiemment qu'il se réveille. J'étais en train de lire un de ces soi-disant ouvrages sur les diverses espèces magiques, lorsqu'il décida enfin à ouvrir ses yeux. Je n'avais osé parler, le laissant juste s'habituer à l'endroit où il était et à elle: une parfaite inconnue qui lui tenait compagnie. J'usais de mes charmes de manière à le séduire, mais m'aperçus bien vite qu'il n'en n'avait pas besoin, chose qui me fit jubiler à l'intérieur. Léo Fallens allait devenir mon calice, et un lien nous rattacherait l'un à l'autre pour l'éternité. Je l'aime d'une certaine manière, parce qu'il est le seul lien gardant mon humanité intacte avec lui. Mais cet amour n'est pas celui auquel vous croyez, il est uniquement fraternel et protecteur de mon côté. Léo et moi dûmes affronter les années à venir ensemble, nous nous arrangeâmes toujours de manière à ce que nous puissions rester tous les deux. Cependant mon côté aventurier reprenait de plus en plus le dessus. Et alors que j’errais dans la forêt interdite de Poudlard, afin de me nourrir de quelques élèves perdus, je me heurtais à un autre problème. Celui pour lequel je n'avais été que très peu habituée : l'aversion totale envers mon espèce. Je fus confrontée à une jeune fille qui semblait avoir le même âge que celui que j'avais lorsque je suis morte. Je l'avais remarqué depuis un moment déjà, mais attendait le moment opportun pour lui faire croire qu'elle m'avait trouvé. Alana Stevens, c'était le nom qu'elle m'avait fièrement donné alors que je rétorquais en lui donnant le mien. Son entêtement et son envie d'en finir avec moi me fit rire, et me donnait envie de la faire passer de mon côté, juste pour qu'elle prenne conscience des avantages qu'elle connaîtrait. J'avais alors entreprit une traque envers elle, et m'étais détournée de mon repas pour faire d'elle le mien. Je me résolue à m'arrêter avant que son cœur ne s'arrête et lui offris mon sang de force. Je m'écartais alors, la laissant terminer sa transition en paix, et attendais qu'elle reprenne conscience. Un lien m'unissait à elle à présent, et je sentais déjà qu'elle me haïssait, alors que j'essayais de lui prouver qu'elle n'avait pas à le faire. Ma bonne conscience m'ordonna de rester présente et non loin d'elle pendant un moment. Après tout, elle aurait autant besoin de moi que j'avais besoin d'Eden. Elle ouvrit enfin ses yeux, et bondit en arrière en me fixant d'une manière effrayée. Je tentais de lui sourire, et lui montra à l'aide de mes yeux, le corps inerte de cette bête au sol. Je savais qu'elle avait soif, et qu'elle devait assouvir son envie. Je me décidais ensuite à m'approcher d'elle, et à lui expliquer mon point de vue, avant de la laisser seule face à son destin. Enfin, elle croyait qu'elle était seule, mais en réalité, je m'étais tapie dans l'obscurité, afin de l'observer et de lui venir en aide. Chose que je fis d'ailleurs les années à venir, et que je continue à faire. Alana est en quelque sorte mon enfant, et comme toute bonne mère, je me dois de la protéger... C'est en la surveillant et en agissant comme une amie pour elle que je pu faire la rencontre de son jeune frère, Caleb Stevens. Un enfant mi humain, mi vampire, je n'avais pas besoin d'en avoir les preuves pour m'apercevoir de ce fait. Son odeur était d’une douceur qu’il m'était rarement donné de sentir, et bien des fois je mordais Léo en imaginant le goût si appétissant que j'aurai pu connaître si cela avait été Caleb. Cependant je ne devais pas le vouloir, de toute manière un sale gosse tel que lui ne méritait pas mon attention. Et pour la première fois depuis de si nombreuses années je me trompais... Il se passa un certain temps, assez conséquent pour ce qui était des humains, puisqu'il s'agissait de huit ans. Huit années parmi lesquelles ce Potter émergea de la masse alors que Voldemort recommençait à faire parler de lui. Je pris conscience que mon temps était venu, et qu'il fallait que j'utilise la faiblesse de celui que je haïssais pour me venger du passé. Cependant, je ne pouvais prendre part au bien, car cette chose me révulsait plus qu'autre chose. Je devais me servir de Potter pour arriver à mes fins. C'est pour cette raison que je le surveillais, lui et ses amis. Apprenant les moindres de leurs aventures, élaborant une approche afin de mieux les manipuler. C'est ce qui m'incita à m'intéresser particulièrement à Ronald Weasley, qui était le meilleur ami d’Harry, et probablement la personne qui ferait le plus de poids si je devais le faire chanter. J'attendais patiemment le moment opportun, celui de capturer Ron afin d'attirer Harry dans cette forêt seul. Cependant, je ne pouvais le faire durant sa jeunesse, mais attendre qu'il gagne en maturité. C'est ce qui expliqua pourquoi je m'inscrivis en dernière année de Poudlard. Laissant ainsi croire que j'étais la descendante directe de cette Angelina, défunte à l'aube de ses dix huit ans, et arrivant tout droit de l'école de Beauxbatons. Ce fut assez facile, car Poudlard n'était plus ce qu'elle avait été... Je recommençais alors mes études tout en veillant à obtenir ce que je voulais. Mais il y eut cette nuit. J'avais soif, et j'avais faim, je devais me nourrir à n'importe quel prix. C'est pourquoi j'avais emprunté le chemin de la forêt interdite. Je n'avais rien trouvé de mieux qu'un centaure que j'avais eu du mal à attraper. Ces bestioles étaient assez ardues à avoir de par leur carrure mais surtout leur force. Je savourais les moindres coulées que je pouvais en retenir et avais bientôt fini mon repas. Son sang n'était pas des plus appétissants, mais il me nourrissait et était chaud... Une fois terminé, je nettoyais mon visage, à l'aide de la manche de ma robe, et décidait de me promener. Un vampire ne dort pas, et tente de passer le temps du mieux qu'il le peut. Je connaissais l'endroit comme ma poche maintenant, et savais vers où je ne devais pas aller. Ma balade fut interrompue par un bruit au loin. Et à en juger par celui ci, il s'agissait d'une personne de la même nature que moi. J'entrepris d'aller à sa rencontre, et fut surprise de tomber sur Caleb. Il se nourrissait de sang lui aussi, et semblait y prendre du plaisir à sa manière. Intriguée, je voulais en savoir davantage, mais ma curiosité laissa sa place à la fascination. Il était devenu un garçon très beau, et qui ne laissait rien transparaître, c'est ce qu'il me toucha en premier lieu. Son charisme et sa force faisait de lui un être auquel je ne pouvais me détourner. Même si j'avais voulu, je ne pouvais pas le laisser. Et de toute manière je ne le souhaitais pas. J'avais envie de le garder avec moi, rien que pour moi, c'était un sentiment fort qui commençait déjà à naître rien qu'avec ce premier regard. Il commençait à me poser des questions sur mon état, ce à quoi je répondais sans me cacher. J'étais fière d'être une vampire et je l'avais affirmé jusqu'alors, cela ne risquait pas de changer maintenant. Un jeu naquit entre nous, visant à séduire l'autre, à dépasser les limites de l'autre, de manière à faire monter ce désir qui ne cesse de se consumer. C'est un jeu auquel je ne me lasserai pas, car j'ai besoin de lui, maintenant qu'il est entré dans mon existence. »
Vos pouvoirs ;; [Si vous en avez. Profitez en pour nous rediger le RP de vos pouvoirs. Oh... Et surtout n'oubliez pas de consulter les reglements à ce sujet avant tout.
Elles se trouvent ici ]
Spoiler: Les pouvoirs de la jeune fille sont pour la plupart liés à ceux des vampires. Elle dispose d'une force développée, d'un atout charismatique assez puissant, d'un accroissement de ses sens... Si elle devait se différencier des autres, ce serait uniquement avec son animagus. Puisqu'elle est capable de se transformer en louve.
Physiquement vous.... ca donne quoi? ;; La La La
Spoiler: Lorsque l'on croise Angie dans la rue, on ne va pas forcément se retourner après son passage, ou peut être que si justement. C'est une jeune fille banale, qui ne dispose d'aucun atout physique supplémentaire, si ce n'est peut être ce charisme qui émane d'elle dés le premier regard. Elle se plait très bien telle qu'elle est, et ne se changerait pour rien au monde. Jeune fille au teint pâle, le même que celui de ses semblables, elle ne pourra jamais être en contact avec le soleil. On peut même comparé la blancheur de sa peau à celle d'un bébé. C'est ce qui explique en partie pourquoi son visage est si angélique.. Des cheveux bruns, des yeux verts bleus, une peau douce est fragile, voilà comment se présente le physique d'Angie. Son ossature est assez frêle, mais ses formes sont avantageuses pour autant. C'est lorsqu'on s'intéresse de plus prés à son visage que l'on remarque une ressemblance avec son père. En effet, prenons par exemple, ses yeux. Ils ne sont pas aussi foncés que ceux de sa mère mais possèdent la même forme que ceux de son père. Légèrement en amande, ils lui permettent d'avoir un visage expressif. Elle peut difficilement cacher ce qu'elle pense ou ce qu'elle ressent à cause de son regard. Ses lèvres sont également fines, et esquissent un des plus jolis sourire qui soit. Son nez quand à lui est légèrement retroussé, ce qui incite généralement son entourage le plus proche à s'amuser à lui pincer le bout. Assez petite de taille, elle n'en n'a aucun complexe bien au contraire, au moins elle passe partout. En ce qui concerne son style vestimentaire maintenant. Ne vous attendez pas à voir Angie bien habillée, elle n'aime pas ça, elle l'a trop été durant sa jeunesse. Elle ne porte pas de marques, pas de robes, encore moins de jupes, rien de trop extravagants. Elle est simple et un jean avec un tee shirt et un sweat par dessus lui suffisent amplement. Elle ne quitte que très rarement ses baskets, les talons très peu pour elle, autant agir dans la plus grande discrétion.
& Psychologiquement ? ;; La La La
Spoiler: Qui est elle? Que veut-elle? Pourquoi est-elle une vampire et vous non? Que de questions... Certaines peuvent être résolues, d'autres pas... Quoi qu'il en soit, laissez moi vous rappeler qui était Angie lorsqu'elle était humaine. Jeune fille assez calme, et solitaire. Toujours à la recherche de réponses à ses questions, et ayant un goût très accru pour ce qui était de braver l'autorité. Angelina est née à la mauvaise époque, puisqu'on la considérait comme étrange. Elle devait être une fille bien sous toute les coutures, ne jamais parler au dessus d'un homme, ne jamais défier l'autorité de son père, suivre la masse sans rien dire. Seulement, ce n'était pas du tout en rapport avec ce qu'elle était. Téméraire, insouciante, ingrate, voilà les qualificatifs qui étaient utilisés à son égard durant sa jeunesse. Trop curieuse, elle ne pouvait jamais délaisser une de ses questions, surtout lorsqu'elle pouvait constater qu'elle n'y avait pas accès. Intelligente, elle mêlait souvent manipulation et sérieux afin de parvenir à ses fins. Elle aurait surement pu devenir Mangemort, et travailler dans le Ministère de la Magie, si sa vie avait continué. Seulement voilà, ce n'en fut pas de cette augure. Et une fois devenue vampire, Angie a développé un sentiment de colère et de rage assez conséquent. C'est surement lié à ce qu'elle est, mais son égo s'est accru, considérablement, surtout lorsqu'elle prit conscience de son don de séduction sur les autres. Elle commença alors à s'enfermer derrière ce qu'elle appréciait, ne souhaitant plus avoir le moindre souvenir de sa vie passée. Elle n'en n'avait pas besoin, elle avait tout maintenant. Séductrice, elle aime amadouer ses victimes, et leur faire penser qu'ils la tiennent, alors qu'en réalité, elle les manipule à sa guise. Sans cœur, ce dernier n'a pas battu depuis de nombreuses années, et ne battra plus, autant s'amuser du malheur des autres. Toujours assoiffée, elle essaie de canaliser la moindre de ses envies ou de ses désirs du mieux qu'elle le peut. Désirs qui sont quasi permanents en elle, puisqu'elle ne veut pas contrôler cette partie. Amoureuse? Elle ne sait pas ce que c'est seulement, puisqu'elle ne l'a jamais été. En revanche son caractère jaloux et possessif peut faire parti de ce trait de caractère. Attentionnée pour les personnes qu'elle côtoie, elle cherchera toujours à les protéger, même si cela implique des sacrifices. Eden, Alana, et Léo sont sa famille, et telle une mère, elle se doit de les préserver. Sans pitié, elle n'hésitera pas à user des pires tortures pour faire souffrir ceux qui oseraient s'en prendre à eux. Violente, elle ne cherche pas à contrôler sa force. Envieuse et désireuse, c'est ce qui arrive quand elle se trouve à proximité de Caleb. Voilà dont le tableau de la vampire Angelina Weather Rhys. Vous êtes prévenus!
Le grand dadet à cicatrices... Vous en pensez quoi? ;; Il l'intéresse, uniquement pour assouvir sa vengeance... Mais elle cherche plus à attirer le rouquin...
& Le vieillard immortel sans nez ? ;; Celui là, elle rêve de pouvoir l'empaler elle même, au milieu de nulle part et le laisser croupir...
Deriere l'ecran... ?
T'as un pseudo ? ;; Wenou & un age ? ;; Ah la vieillesse, 23 ans T'as bien lu le reglement dis moi ? ;; Voui, j'ai même cru voir Sucette T'en es vraiment sur ? ;; Bah quoi? Y en a pas chez les sorciers? Le Forum... Il te dit quoi? ;; « Inscris toi, viens jouer sur moi *héhé* » Il est vicieux ce forum T'es arrivé ici comment ? ;; Hum, ça commence par un L et ça finit par un A Ton personnage d'HP preferé ? ;; Cédric Diggory, mais pourquoi il est mort sniiiiiif
Dernière édition par Angie W.Rhys le Lun 27 Sep - 11:22, édité 2 fois